Chaque eté il finit que je vais quelques jours a Montrevel en Bresse, ou le poulet coute 50 euros e le matin on mange pain au chocolat. Chaque annèe je pense che je devrais connaitre mieux la region. Alors avec ma padronnance du Francais je me mette en voiture et donne debut au voyage de Totò en Bourgogne. Veramon? Veramon.
C’est un Totò avec le complexe d’Hannibal, qui n’arrive jamais à destination. Jamais pret pour la Cote d’Or, il tergiverse dans le Maconnais ou sur la Cote Chalonnaise. En cherche d’Eric Texier comment lui avait suggeré Barosì, il y a voulu demi journèe pour comprendre d’etre hors de route, tournant autur une Charnay dans le 71eme, alors que la Charnay juste etait dans le 68.
Terroir, terroir, quesquecè terroir, remugenait Totò. C’est alors che lui a apparù la Roche de Vergisson chere à Mitterand, une piece de Colorado dans la campagne bourguignonne. A Vergisson Christine Saumaize lui a revelé quelque petit chose du terroir: argille, calcaire et marne — voilà trois Pouilly Fuissé different. Totò a acheté l’argilleux, elegant mais toujours floreal. Richard etait occupé et il ne semblait pas tres hereux: 2007, mauvaise annèe, trop de pluie.
Bien avec le chardonnay, mais le pinot noir? Ou acheter du pinot noir digne de Totò, le dernier arrivé, comment disait Batman? A Givry peutetre. Comment le terroir peut etre hostique a connaitre! Vous de le restaurant la Cadole, donnez moi la spinte, l’abbrive! je cadolerais jusque a le 1er cru que vous preferez. Ca etait le Givry de Vincent Lumpp et ici Totò a acheté le Clos de Cras Long du 2004, un bourgogne bon a boire l’annèe prochaine.
Et puis vite! à chercher les canards. Dans la France profonde, trez trez profonde, a Dommartine, n’est pas le Perigord, mais ici aussi font le gavage des canards, betes tres gourmandes. Ici Totò apprend quelque chose du fois gras, rillettes e terrines. A consommer avec des blancs, mieux des blancs un peu sucré, bon avec le vin de Jura.